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Ô bien-être créatif

J'ai créé ce blog pour illustrer ma passion naissante pour la quête du bien-être et également pour trouver une activité professionnelle dans laquelle je puisse m'épanouir..

Les textes et/ou articles forts qui m'inspirent - 1ère partie

Bio Info - Janvier 2013 - Et si la maladie avait un sens?

La maladie a toujours posé un problème à l'être humain. De tout temps, il a cherché à comprendre ce qu'elle était et d'où elle venait, accusant les dieux puis les virus... comme s'il cherchait un coupable, un adversaire à combattre. Et si la maladie était en nous? Avant de prendre les armes contre elle, apprenons à la vivre car la maladie a peut être des choses à nous dire pour nous aider à guérir.

Et s'il nous fallait modifier notre façon de regarder ce que nous appelons la maladie? Cet état de malaise, de déséquilibre, passager ou plus durable, qui nous touche tous à divers degrés... Je ne parle pas seulement des affections qui nous clouent au lit ou, pire, nous contraignent à l'hospitalisation et peuvent mal finir, mais aussi de tous les troubles et autres bobos qui sont notre lot quotidien, à tous et à chacun.

Considérer la maladie autrement m'apparaît, à l'expérience, pouvoir nous libérer des peurs les plus courantes de notre société et, plus simplement, nous rendre libres! il ne s'agit pas ici d'une nouvelle vérité à adopter, mais d'une nouvelle expérience à réaliser soi-même, une recherche à vivre... Une réflexion.

Extérieure ou intérieure

Depuis toujours, l'Homme a cherché une cause à ses malaises. Il a commencé à en accuser les esprits, les dieux, les sorciers, avant de se contenter (!) des virus, bactéries et autres agents infectieux. Mais le réflexe est toujours le même : trouver et accuser un coupable qui est nécessairement extérieur!

Du coup, et en toute logique, s'il y a une agression, il est normal de se défendre, de combattre l'adversaire qui nous veut du mal. D'où l'ensemble des remèdes qui nous sont proposés (voire imposés) qui doivent soit détruire l'agent en cause, soit supprimer les symptômes ressentis.

Et si cette maladie était tout autre chose, juste un travail d'adaptation que met en place notre organisme pour résoudre un déséquilibre, permettre une remise en ordre, organiser une évolution, faciliter le passage à une nouvelle étape de la vie? Et si la maladie ne venait pas de l'extérieur mais de l'intérieur de notre organisme en réponse à un besoin? C'est alors que le combat devient tout à fait malvenu et préjudiciable, pire que le mal qu'il est censé faire disparaître.

Une autre approche

Nous sommes programmés pour la survie. Ainsi, notre cerveau, maître d'oeuvre de tous les phénomènes qui nous animent agit, quelles que soient les circonstances, afin de nous garder en vie.

Cette survie est assurée par des adaptations permanentes dans la limite d'un certain nombre de constantes physiologiques qui autorisent la vie. Dans la plupart des cas, nous ne percevons rien de ces adaptations, parce que nous ne savons pas écouter ce que nous disent nos métabolismes ou parce que les réglages sont infimes, imperceptibles.

A d'autres moments, il est nécessaire de mettre en oeuvre des mécanismes plus lourds, plus complexes. Une fièvre s'installe parce qu'il est fait appel aux enzymes métaboliques chargées de réparer, de reconstruire, de détruire, d'organiser certaines réactions physiologiques. Or, ces enzymes sont beaucoup plus actives dans un milieu plus chaud; elles ont même un maximum d'activité aux environs de 42°C! Etonnant, non?

Parfois, il est demandé à certains micro-organismes, virus, bactéries, champignons, d'intervenir afin de nettoyer les résidus laissés en place par une adaptation précédente. Ces micro-organismes ne viendraient pas de l'extérieur de notre organisme, mais seraient élaborés par nos propres cellules à la demande de notre cerveau alerté par une situation qui nécessite l'intervention de ces pompiers.

Au milieu du XIXème siècle, Antoine Béchamp, à la fois chercheur, pharmacien, médecin, chimiste, découvrit ce qu'il appela les microzymas. Pour lui, et bien d'autres chercheurs à sa suite, ces microzymas seraient des micro-organismes élémentaires, neutres, ayant un rôle fondamental dans la synthèse enzymatique. Selon les besoins de notre organisme, selon les adaptations nécessaires, ces microzymas pourraient évoluer vers la forme virus, bactérie ou champignon, afin d'accomplir ce dont notre organisme a besoin, puis régresser vers leur forme originelle, une fois leur travail effectué. Les combattre reviendrait à les empêcher de faire ce travail, travail pour lequel ils auraient été élaborés.

Trouver la cause d'origine

Impossible de ne pas évoquer dans ce même cadre le décodage biologique. C'est ce même impératif de la survie qui ferait que notre cerveau provoque le développement d'une maladie physique quand un conflit trop violent menace l'existence. Cette maladie est envisagée comme une déviation de l'agression vécue. Reste à comprendre l'origine de l'affection (la décoder) et, surtout, à ne pas la considérer comme une ennemie à combattre, voire à supprimer...

Que conclure de cette réflexion? Peut-être qu'il ne faut pas conclure, juste analyser ce que l'on vit, réfléchir à ce que l'on nous propose lorsque nous tombons malades, écouter notre corps et expérimenter une autre façon de réagir à la maladie.

Laissez la maladie exister, travailler, être une part de nous dans notre évolution. Ne plus la rejeter comme quelque chose d'étranger, de dangereux, d'ennemi. L'accepter pour ce qu'elle est très probablement : l'acteur de notre retour à l'équilibre.

Si, bien-sûr, nous mettons en place dans notre vie l'hygiène naturelle qui nous est nécessaire (alimentation, exercice, soleil, eau, air, repos), alors la maladie ne consistera qu'en une suite d'adaptations tout à fait vivables et acceptables, surtout si nous l'acceptons!

André Roux, naturopathe énergéticien

Les textes et/ou articles forts qui m'inspirent - 1ère partie

La volonté est une ressource limitée donc le meilleur moyen d'atteindre un objectif est de ne pas avoir recours à sa volonté.
N'abandonnez pas quand vous perdez, abandonnez quand vous avez gagné.
Qui veut faire quelques chose trouve un moyen, qui ne veut rien trouve une excuse.
Tentez, échouez, recommencez, tombez, relevez-vous, persévérez, réussissez.
Des clés pour réussir : avoir confiance en son avenir, avoir une bonne estime de soi, changer son rapport aux échecs, ne pas croire ou compter seulement sur la chance mais travailler, prendre des risques mesurés, investir en soi, être déterminé, ambitieux, persévérant..

Vie Explosive

Dopons notre sentiment d'efficacité personnelle : et si on commençait par croire que l'on est capable d'atteindre nos objectifs?
Plus nous sommes convaincus de nos compétences, plus nous sommes compétents =) développement d'une croyance solide en ses aptitudes.

Article Marie-France Avril 2012

Les textes et/ou articles forts qui m'inspirent - 1ère partie

Vivre le moment présent =) être dans le ICI et MAINTENANT
Juste ETRE. Mais on a plus appris à vivre dans la peur, pas eu d'exemple pour savoir profiter du moment présent.
Energie collective =) l'univers s'occupe de nous lorsque l'on est centré. Faire confiance à la vie.
Boire, méditer, respirer.
Etre reconnaissants de ce que l'on reçoit, dire MERCI.
Mettre en pratique, adopter de nouveaux comportements, alimenter son mental avec ses nouvelles connaissances. Si on ne met rien en place, si on ne change rien, rien ne se passera.
Développer son intuition = savoir instantané
Puissance de l'être humain énorme, puissance du pardon aussi = façon de gérer les traumatismes

Conférence Lise Bourbeau du 4/10/12 à Lyon

Aider l'autre, c'est tout d'abord prendre soin de soi :
S'enraciner, accepter d'être ce que l'on est,
Accepter de venir d'où l'on vient.
C'est se réconcilier avec son passé,
avec ce qu'on est, avec son corps,
avec son apparence, avec ses compétences,
avec ses qualités et ses défauts,
avec ses savoirs et ses ignorances,
avec ses valeurs et ses doutes.

C'est pouvoir dire chaque matin : "Je m'accepte",
"J'accepte qui je suis, ce que je suis"
et c'est avec joie que j'offre "qui je suis" et aussi
"qui je deviens" à tous ceux que je vais rencontrer
aujourd'hui dans ma vie personnelle
et dans mon activité professionnelle ou bénévole.

C'est pouvoir lâcher prise de mon désir d'être "autre",
d'être "plus" pour laisser émerger en moi
l'amour et la compassion pour l'autre,
pour les autres et pour moi-même.

Blog Corinne Lebrun

La psychogénéalogie est un domaine de réalisation de soi. C'est une recherche sur les mécanismes qui construisent notre histoire, sur les fils qui tissent nos traits de caractère, la façon de nous comporter, les désirs et peurs qui nous habitent. L'étude de l'arbre nous permet de découvrir que les morts sont toujours vivants en nous. En effet, nous en avons hérité des mémoires cellulaires ou mémoires généalogiques qui sont la charge émotionnelle des séquences de leur vie...

Soleil Levant - Janvier 2003

Les textes et/ou articles forts qui m'inspirent - 1ère partie
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C
un autre passage sur le moment présent ... très évocateur également ....<br /> &quot;parfois l'enfant qui est en vous se manifeste, le vrai vous qui est resté à l'âge de 2 ou 3 ans. Vous vivez alors dans l'instant présent et vous êtes heureux, avant que quelque chose ne vous sorte de cet état, quelque chose en vous qui se sent indigné de trop s'amuser. Une voix intérieure vous dit que votre bonheur est trop beau pour être vrai, il n'est pas bon d'être trop heureux. Et c'est ainsi que toute la culpabilité, tous les reproches, tout le poison émotionnel vous ramène sans cesse dans un monde de drames&quot;
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C
Je te fais partager un texte de Don Miguel Ruiz dans &quot;la maîtrise de l'amour&quot; qui est assez violent mais tellement riche!<br /> &quot;la vie nous apporte exactement ce dont nous avons besoin. Il existe une justice parfaite en enfer. Il n'y a personne à condamner. On peut même affirmer que notre souffrance est un cadeau. Si vous pouvez ouvrir tout simplement les yeux et que vous regardez autour de vous, vous verrez que vous avez exactement ce qu'il faut pour vous nettoyer de tout poison, pour guérir vos plaies, pour vous accepter et vous sortir de l'enfer&quot;
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C
j'adore les illustrations...je me sens plongée dans une source de bien être, le top¨!
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